Les Alans ou les Alani (parfois plus rarement appelés Alauni ou Halani) étaient un groupe nomade iranien parmi les Sarmatiens, des pasteurs nomades de guerre de milieux variés, qui parlaient une langue iranienne et partageaient en grande partie une culture commune.

Nom Les différentes formes d'Alan - Grec: Αλανοί, Αλαννοί; Chinois: 阿蘭聊 Alanliao (Pinyin) dans le 2ème siècle CE, Alan (Pinyin) au 3ème siècle CE - et fer (une auto-désignation des descendants ossètes modernes d'Alan, étymologiquement sans rapport au fer métallique) sont des formes dialectiques iraniennes Aryen. Ces et d'autres variantes d'Aryen (comme l'Iran), étaient des autodéterminations communes des Indo-Iraniens, les ancêtres communs des Indo-Aryens et des peuples iraniens auxquels les Alans appartenaient.

Les Alains étaient également connus au cours de leur histoire par un autre groupe de noms apparentés, y compris les variations Asi, As et Os (Jász hongrois, Jasy russe, Osi géorgien). C'est ce nom qui est la racine de l'Ossète moderne.

Early Alans Les premières mentions de noms que les historiens lient à "Alani" apparaissent presque en même temps dans la géographie gréco-romaine et dans les chroniques dynastiques chinoises. La Géographie (xxiii, 11.v) de Strabon, né au Pont sur la mer Noire, mais travaillant aussi avec des sources persanes, à en juger par les formes qu'il donne aux noms de tribus, mentionne Aorsi qu'il lie aux Siraces et aux revendications Qu'un Spadines, roi des Aorsi, pouvait assembler deux cent mille archers montés au milieu du Ier siècle av. Mais les «Aorsi supérieurs», dont ils s'étaient séparés comme fugitifs, pouvaient en envoyer beaucoup plus, car ils dominaient la région côtière de la mer Caspienne »et, par conséquent, ils pouvaient importer sur des chameaux les marchandises indiennes et babyloniennes, Les Arméniens et les Mèdes, et aussi, en raison de leur richesse, peuvent porter des ornements d'or. Maintenant, les Aorsi vivent le long des Tanaïs, mais les Siraces vivent le long de l'Acharde, qui coule du Caucase et se jette dans le lac Maotis.

Le chapitre 123 du Shiji (dont l'auteur, Sima Qian, est mort vers 90 BCE) rapporte:

"Yancai se trouve à quelque 2 000 li [832 km] au nord-ouest de Kangju. Les gens sont nomades et leurs coutumes sont généralement semblables à celles des habitants de Kangju.Le pays a plus de 100 000 guerriers archers, et les frontières d'un grand lac sans rivage, Est connue comme la Mer du Nord (Mer Caspienne?). " [3]

La chronique chinoise de la dynastie des Han tardive, le Hou Hanshu, 88 (couvrant la période 25-220 CE et achevée au 5ème siècle), a mentionné un rapport que la terre de la steppe Yancai était maintenant connu comme Alanliao (阿蘭聊):

"Le royaume de Yancai a changé son nom en royaume d'Alanliao, occupant le pays et les villes, dépendance de Kangju (les bassins de Chu, de Talas et de Jaxartes moyen). Est douce, les arbres de cire, les pins et l'herbe blanche [aconite] sont abondants, leur mode de vie et leur robe sont les mêmes que ceux de Kangju.

Le 3ème siècle Weilüe déclare:

«Il y a aussi le royaume de Liu, le royaume de Yan [au nord de Yancai], et le royaume de Yancai [entre la mer Noire et la mer Caspienne], qui s'appelle aussi Alan. Ils ont tous le même mode de vie que ceux de Kangju. À l'ouest, ils bordent Da Qin [territoire romain], au sud-est ils bordent Kangju [les bassins de Chu, de Talas, et de Jaxartes moyens]. Ces royaumes ont un grand nombre de leurs célèbres sables. Ils élèvent du bétail et se déplacent à la recherche d'eau et de fourrage. Ils sont près d'un grand lac sans eau. Auparavant, ils étaient des vassaux de Kangju [les bassins de Chu, Talas et de Jaxartes moyen]. Maintenant, ils ne sont plus des vassaux. »[5]

Le li chinois de la période Han diffère de l'unité de base SI moderne de longueur; Un li équivalait à 415,8 mètres. Le «grand lac sans rive» faisait probablement référence aux mers Aral et Caspienne. L'embouchure du Syr Darya ou de la rivière Jaxartes qui s'est évacué dans la mer d'Aral se trouvait à environ 850 km au nord-ouest de l'oasis de Tachkent, qui était un centre important de la confédération Kangju. Ceci fournit une confirmation remarquable du compte dans le Shiji.

Au début du 1er siècle, les Alans avaient occupé des terres dans la zone nord-est de la mer d'Azov, le long du Don et au 2ème siècle avaient fusionné ou joint avec le Yancai des premiers registres chinois pour étendre leur contrôle tout le chemin le long du commerce De la mer Noire au nord de la mer Caspienne et de la mer d'Aral. Les sources écrites suggèrent qu'à partir de la seconde moitié du 1er au 4ème siècle, les Alains avaient la suprématie sur l'union tribale et créé une puissante confédération des tribus sarmates. Les Alans présentaient un sérieux problème pour l'Empire romain, avec des incursions dans les deux provinces du Danube et du Caucase aux 2e et 3e siècles

Ammianus Marcellinus a déclaré que: Presque tous les Alans sont grands et beau; Leurs cheveux sont généralement blonds, et leurs yeux sont effrayant féroce [6].

Ammianus Marcellinus a considéré les Alans pour être l'ancien Massagetae: cf. «Iuxtaque Massagetae Halani et Sargetae», «par Albanos et Massagetas, quas Alanos nunc appellamus», «Halanos pervenit, vétérans Massagetas».

Les découvertes archéologiques appuient les sources écrites. Les sites sarnatiques tardifs ont d'abord été identifiés avec l'Alans historique par P.D. Rau. Basé sur le matériel archéologique, ils étaient l'une des tribus nomades iranophones qui ont commencé à entrer dans la région sarmatienne entre le milieu du 1er et le 2ème siècle.

Les Alani ont été mentionnés pour la première fois dans la littérature romaine au 1er siècle et ont été décrit plus tard comme un peuple belliqueux qui s'est spécialisé dans l'élevage de chevaux. Ils attaquèrent fréquemment l'empire parthien et les provinces caucasiennes de l'Empire romain. Dans l'inscription de Vologeses [1] on peut lire que Vologeses, le roi de Parthian, dans la 11ème année de son règne, a combattu Kuluk, roi des Alani.

Cette inscription est complétée par l'historien juif contemporain Josephus (37-100), qui rapporte dans les guerres juives (livre 7, ch. 8.4) comment Alans (qu'il appelle une tribu "Scythe") vivant près de la mer d'Azov, Traversèrent les portes de fer pour le pillage et défirent les armées de Pacorus, roi de Média, et Tiridates, roi d'Arménie, deux frères de Vologeses I (pour lesquels l'inscription susmentionnée a été faite):

"4. Il y avait une nation des Alains, que nous avons autrefois mentionnée quelque part comme étant des Scythes, et qui habitaient au lac Meotis. Cette nation à cette époque a jeté une conception de tomber sur les médias, et les parties au-delà, dans l'ordre Pour les dérober, avec quelle intention ils traitèrent avec le roi d'Hyrcania, car il était maître de ce passage que le roi Alexandre ferma avec des portes de fer: ce roi leur donna la permission de venir à travers eux, ils sont venus en grande foule et est tombé Sur les Mèdes inopinément, et pillèrent leur pays qu'ils trouvèrent plein de peuples, et remplis d'abondance de bétail, tandis que personne n'osait s'y opposer, car Pacore, le roi du pays, s'était enfui de peur dans des endroits où Ils ne pouvaient pas facilement venir à lui, et avaient cédé tout ce qu'il avait pour eux, et avaient seulement sauvé leur femme et ses concubines d'eux, et cela avec difficulté aussi, après qu'ils ont été faits captifs, en leur donnant cent talents pour Leur rançon. Ces Alains pillaient donc le pays sans opposition, et avec beaucoup de facilité, et se rendirent jusqu'à l'Arménie, jetant tous les déchets devant eux. Tiridates était roi de ce pays, qui les rencontra et les combattit; mais il eut aimé avoir été pris vivant dans la bataille; Car un certain homme a jeté un filet sur lui depuis une grande distance et l'a bientôt attiré à lui, à moins qu'il n'ait immédiatement coupé la corde avec son épée, et ait couru loin, et l'ait empêché. Alors les Alains, encore plus provoqués par cette vue, dévastèrent le pays, et chassèrent avec eux une grande multitude d'hommes, et une grande quantité d'autres proies qu'ils avaient tirées des deux royaumes, puis ils reculèrent en arrière À leur propre pays. "

Flavius Arrianus a défilé contre les Alani au 1er siècle et a laissé un rapport détaillé (Ektaxis kata Alanoon ou «guerre contre les Alans») qui est une source majeure pour étudier la tactique militaire romaine, mais ne révèle pas beaucoup sur son ennemi.

The 'western' Alans and Vandals

Around 370, the Alans were overwhelmed by the Huns. They were divided into several groups, some of whom fled westward. A portion of these western Alans joined the Germanic tribes of Vandals and Sueves in their invasion of Roman Gaul. Gregory of Tours mentions in his Liber historiae Francorum ("The book of the history of the Franks") that the Alan king Respendial saved the day for the Vandals in an armed encounter with the Franks at the crossing of the Rhine on December 31 406). According to Gregory, another group of Alans, led by Goar, crossed the Rhine at the same time, but immediately joined the Romans and settled in Gaul.

Following the fortunes of the Vandals and Suevi into the Iberian peninsula (Hispania) in 409, the Alans settled in the provinces of Lusitania and Carthaginiensis: "Alani Lusitaniam et Carthaginiensem provincias, et Wandali cognomine Silingi Baeticam sortiuntur" (Hydatius). The Siling Vandals settled in Baetica, the Suevi in coastal Gallaecia, and the Asding Vandals in the rest of Gallaecia.

In 418, the Alan king, Attaces, was killed in battle against the Visigoths, and this branch of the Alans subsequently appealed to the Asding Vandal king Gunderic to accept the Alan crown the separate ethnic identity of Respendial's Alans dissolved. Although some of these Alans are thought to have remained in Iberia, most went to North Africa with the Vandals in 429. Later Vandal kings in North Africa styled themselves Rex Wandalorum et Alanorum (King of the Vandals and Alans).

In Gaul, the Alans originally led by Goar settled in several areas, notably around Orléans and Valentia. Under Goar, they allied with the Burgundians led by Gundaharius, with whom they installed the usurping Emperor Jovinus. Under Goar's successor Sangiban, the Alans of Orléans played a critical role in repelling the invasion of Attila the Hun at the Battle of Chalons. After the fifth century, however, the Alans of Gaul were subsumed in the territorial struggles between the Franks and the Visigoths, and ceased to have an independent existence. Flavius Aëtius settled large numbers of Alans in and around Armorica in order to quell unrest. The Breton name Alan (rather than the French Alain) and several towns with names related to 'Alan', such as Alanville are popularly taken as evidence that a contingent settled in Brittany.

In the Iberian peninsula the Alans settled in Lusitania and the Cartaginense provinces. They became known in retrospect for their massive hunting and fighting dog, the Alaunt, which they apparently introduced to Europe. The breed is extinct, but its name is carried by a giant breed of dog still called Alano that survives in the Basque Country. The dogs are traditionally used in boar hunting and cattle herding.

Alans et Slaves

Les tribus albanaises vivant au nord de la mer Noire ont peut-être migré vers le nord-ouest dans ce qui est aujourd'hui la Pologne, fusionnant avec les peuples slaves pour devenir les précurseurs des nations slaves historiques (notamment les Serbes et les Croates). Les inscriptions du troisième siècle de Tanais, une ville sur la rivière Don dans la Russie moderne, mentionnent une tribu alan proche appelée Choroatos ou Chorouatos. L'historien Ptolémée identifie les Serboi comme une tribu sarmatienne qui vivait au nord du Caucase, et d'autres sources identifient les Serboi comme une tribu Alan dans la steppe Volga-Don au troisième siècle.

Les comptes de ces noms réapparaissent au Ve siècle, avec les Serbois, ou Serbes, établis à l'est de l'Elbe dans ce qui est maintenant la Pologne occidentale, et les Croates dans ce qui est maintenant la Galice polonaise. Les tribus d'Alan se sont probablement déplacées au nord-est et se sont installées parmi les Slaves, dominant et mobilisant les tribus slaves qu'elles ont rencontrées et assimilant plus tard dans la population slave. En 620, les Croates et les Serbes ont été invités dans les Balkans par l'empereur romain de l'Est Heraclius pour chasser les Avars turcs et s'y sont installés parmi les anciens migrants slaves pour devenir les ancêtres des Serbes et Croates modernes. Quelques Serbes sont restés sur l'Elbe, et leurs descendants sont les Sorabes modernes. Les récits byzantins et arabes du dixième siècle décrivent un peuple appelé les Belochrobati (Croates blancs) vivant sur la Vistule supérieure, une région appelée plus tard Chrobatia.

On croit que certains Alans se sont réinstallés dans le Nord (Barsils), en fusionnant avec Volga Bulgares et Burtas, se transformant finalement en Tatars de Volga [7]

The ‘eastern' Alans and Huns

Some of the other Alans remained under the rule of the Huns. These 'eastern' Alans are said to be ancestors of the modern Ossetians of the Caucasus.

Those of the eastern division, though dispersed about the steppes until late medieval times, were forced by the Mongols into the Caucasus, where they remain as the Ossetians. Their most famous leader was Aspar, the magister militum of the Byzantine Empire during the 460s. They formed a network of tribal alliances between the ninth and twelfth centuries.

Medieval Alania

In the 8th century a consolidated Alan kingdom, referred to in sources of the period as Alania, emerged in the northern Caucasus Mountains, roughly in the location of modern Circassia and North Ossetia-Alania. Its capital was Maghas, and it controlled the vital trade route through the Darial Pass. At times it had an outlet to the sea via the ancient port city of Phasis in Colchis (western Georgia).

In the 800s, the Alan kingdom in the Caucasus fell under the overlordship of the Khazar Khaganate. They were staunch allies of the Khazars, supporting them against a Byzantine-led coalition during the reign of the Khazar king Benjamin. According to the anonymous author of the Schechter Letter, many Alans were during this period adherents of Judaism. However, in the early 900s, the Alans fell under the influence of the Byzantine Empire, possibly due to the conversion of their ruler to Christianity. The Byzantines, who had adopted an anti-Khazar foreign policy, involved the Alans in a war against the Khaganate during the reign of the Khazar ruler Aaron II, probably the early 920s. In this war the Alans were defeated and their king captured. According to Muslim sources such as al-Mas'udi, the Alans abandoned Christianity and expelled the Byzantine missionaries and clergy roughly contemporaneously with these events. Aaron's son married the daughter of the Alan king and Alania was re-aligned with the Khazars, remaining so until the collapse of the Khaganate in the 960s.

Religion, langue et histoire ultérieure

Aux IVe-Ve siècles, les Alains étaient au moins partiellement christianisés par les missionnaires byzantins de l'église arienne. Au XIIIe siècle, de nouvelles hordes mongoles envahissantes poussèrent les Alans orientaux plus au sud dans le Caucase, où ils se mêlèrent à des groupes indigènes caucasiens et formaient successivement trois entités territoriales, chacune avec des développements différents. Vers 1395, l'armée de Timur envahit le Caucase du Nord et massacra une grande partie de la population alanienne.

Comme le temps passait, Digor dans l'ouest est venu sous Kabard et influence islamique. C'est à travers les Kabardiens (une tribu circassienne orientale) que l'islam a été introduit dans la région au 17ème siècle. Tuallag dans la région méridionale, Samachablo géorgien, est de nouveau une partie de ce qui est maintenant la Géorgie, et le fer, le groupe le plus au nord, est entré sous la règle russe après 1767, qui a considérablement renforcé le christianisme orthodoxe. La plupart des Ossetes sont aujourd'hui des chrétiens orthodoxes orientaux.

Les descendants linguistiques Alans, qui vivent dans les républiques autonomes de Russie et de Géorgie, parlent la langue ossétique, qui appartient au groupe de la langue iranienne du Nord-Est, étant le seul vestige du continuum scytho-sarmatien qui s'étendait jadis sur une grande partie de la steppe pontique et Asie centrale. L'ossète moderne a deux dialectes principaux: Digor, parlé dans la partie occidentale de l'Ossétie du Nord; Et Fer, parlé dans le reste de l'Ossétie. Une troisième branche de l'Ossète, Jassic (Jász), était autrefois parlée en Hongrie. Le langage littéraire, basé sur le dialecte de fer, a été fixé par le poète national, Kosta Xetagurov (1859-1906).

Il ya une petite communauté dans l'ouest de l'Irak s'appelant Alani. Ils semblent avoir l'ascendance turque ou iranienne, et sont des musulmans sunnites. Le nom Alani a été probablement adopté par ces personnes pour revendiquer l'ascendance de la légendaire tribu iranienne Alan; Cependant, ils sont en grande partie arabisés. Ils présentent beaucoup de similarités raciales avec les Caucasiens. Ils utilisent le nom Alani comme nom de famille. Il n'est pas rare de trouver des cheveux rouges ou blonds parmi eux, mais comme les mariages avec les Arabes sont devenus monnaie courante, maintenant ils ont une variété de phénotypes, certains montrent d'avoir des traits mongols, C'est en fait le soutien qu'ils ont l'ascendance altaïque plutôt que l'iranien, puisque les tribus turques ont de grandes quantités de sang mongol. Ils ont été liés aux dix tribus perdues d'Israël, les Huns, Khazars, et bien sûr l'armée Tatar de Hulagu khan quand les Mongols sont entrés en Irak. La théorie plus tardive a été introduite par les chiites qui méprisent Alanis comme ils sont sunnites. Les chiites extrémistes utilisent des termes péjoratifs comme «les porcs» et les «chiens impurs qui doivent être exterminés» pour y répondre. Le lien historique avec les Alains est basé sur des légendes et des hypothèses. Raciellement ils sont différents des Arabes sémitiques, semblant être de la branche altaïque, et probablement venus de la Sibérie et de l'Asie centrale en l'an 487 selon leur légende qui affirme qu'ils venaient du nord du Caucase, et oriental Tabristan qui est Probablement Turkestan. Certains les ont reliés aux Perses qui ont également utilisé le nom.

Notes

1.Le Hou Hanshu

2.Le Weilüe

3.Watson, Burton trans. 1993. Dossiers du Grand Historien par Sima Qian. Dynastie des Han II. (Édition révisée), p. 234. Columbia University Press. New York. ISBN 0-231-08166-9; ISBN 0-231-08167-7 (pbk.)

4. Hill, John E. 2003. "Traduction annotée du chapitre sur les régions occidentales selon Hou Hanshu." Edition révisée - à paraître bientôt.

5.Pour une version antérieure de cette traduction

6.Ammianus Marcellinus, XXX.2.21

7. (Russe) Тайная история татар

Early Alans

Europe, AD 117-138. The Alani at the time were concentrated north of the Caucasus Mountains (centre right).

The first mentions of names that historians link with theAlani appear at almost the same time in texts from the Mediterranean, Middle East and China.[9]

In the 1st century AD, the Alans migrated westwards fromCentral Asia, achieving a dominant position among the Sarmatians living between the Don River and the Caspian Sea.[4][5] The Alans are mentioned in the Vologeses inscription which reads that Vologeses I, the Parthian king c. 51–78 AD, in the 11th year of his reign, battled Kuluk, king of the Alani.[17]The contemporary Jewish historian, Josephus (37–100) supplements this inscription. Josephus reports in the Jewish Wars (book 7, ch. 7.4) how Alans (whom he calls a "Scythian" tribe) living near the Sea of Azov crossed the Iron Gates for plunder (72 AD) and defeated the armies of Pacorus, king of Media, and Tiridates, King of Armenia, two brothers of Vologeses I (for whom the above-mentioned inscription was made):

4. Now there was a nation of the Alans, which we have formerly mentioned somewhere as being Scythians, and inhabiting at the Lake Meotis. This nation about this time laid a design of falling upon Media, and the parts beyond it, in order to plunder them; with which intention they treated with the king of Hyrcania; for he was master of that passage which king Alexander shut up with iron gates. This king gave them leave to come through them; so they came in great multitudes, and fell upon the Medes unexpectedly, and plundered their country, which they found full of people, and replenished with abundance of cattle, while nobody durst make any resistance against them; for Pacorus, the king of the country, had fled away for fear into places where they could not easily come at him, and had yielded up everything he had to them, and had only saved his wife and his concubines from them, and that with difficulty also, after they had been made captives, by giving them a hundred talents for their ransom. These Alans therefore plundered the country without opposition, and with great ease, and proceeded as far as Armenia, laying all waste before them. Now, Tiridates was king of that country, who met them and fought them but had luck to not have been taken alive in the battle; for a certain man threw a net over him from a great distance and had soon drawn him to him, unless he had immediately cut the cord with his sword and ran away and so, prevented it. So the Alans, being still more provoked by this sight, laid waste the country, and drove a great multitude of the men, and a great quantity of the other prey they had gotten out of both kingdoms, along with them, and then retreated back to their own country.

The fact that the Alans invaded Parthia through Hyrcania shows that at the time many Alans were still based north-east of the Caspian Sea.[4] By the early 2nd century AD the Alans were in firm control of the Lower Volga and Kuban.[4] These lands had earlier been occupied by the Aorsi and the Siraces, whom the Alans apparently absorbed, dispersed and/or destroyed, since they were no longer mentioned in contemporaneous accounts.[4] It is likely that the Alans' influence stretched further westwards, encompassing most of the Sarmatian world, which by then possessed a relatively homogenous culture.[4]

In 135 AD, the Alans made a huge raid into Asia Minor via the Caucasus, ravaging Media and Armenia.[4]They were eventually driven back by Arrian, the governor of Cappadocia, who wrote a detailed report (Ektaxis kata Alanoon or 'War Against the Alans') that is a major source for studying Roman military tactics.

In 215–250 AD, the Germanic Goths expanded south-eastwards and broke the Alan dominance on thePontic Steppe.[4] The Alans however seem to have had a significant influence on Gothic culture, who became excellent horsemen and adopted the Alanic animal style art.[4] (The Roman Empire, during the chaos of the 3rd century civil wars, suffered damaging raids by the Gothic armies with their heavy cavalry before the Illyrian Emperors adapted to the Gothic tactics, reorganized and expanded the Roman heavy cavalry, and defeated the Goths under Gallienus, Claudius II and Aurelian).

After the Gothic entry to the steppe, many of the Alans seem to have retreated eastwards towards the Don, where they seem to have established contacts with the Huns.[4] Ammianus writes that the Alans were "somewhat like the Huns, but in their manner of life and their habits they are less savage."[4]Jordanes contrasted them with the Huns, noting that the Alans "were their equals in battle, but unlike them in their civilisation, manners and appearance".[4] In the late 4th century, Vegetius conflates Alans and Huns in his military treatise – Hunnorum Alannorumque natio, the "nation of Huns and Alans" – and collocates Goths, Huns and Alans, exemplo Gothorum et Alannorum Hunnorumque.[18]

The 4th century Roman historian Ammianus Marcellinus considered the Alans were "formerly calledMassagetae,"[19] while Dio Cassius wrote that "they are Massagetae."[4] It is likely that the Alans were an amalgamation of various Iranian peoples, including Sarmatians, Massagetae and Sakas.[4] Scholars have connected the Alans to the nomadic state of Yancai mentioned in Chinese sources.[6] Yancai is first mentioned in connection with late 2nd century BC diplomat Zhang Qian 's travels in Chapter 123 ofShiji (whose author, Sima Qian, died c. 90 BC).[6][20] Yancai of Chinese records has again been equated with the Aorsi, a powerful Sarmatian tribe living between the Don River and the Aral Sea, mentioned inRoman records, in particular Strabo.[6]

Europe, AD 117-138. The Alani at the time were concentrated north of the Caucasus Mountains (centre right).

History

Timeline

Europe, AD 117-138. The Alani at the time were concentrated north of the Caucasus Mountains (centre right).

The first mentions of names that historians link with theAlani appear at almost the same time in texts from the Mediterranean, Middle East and China.[9]

Link to Yancai/Alanliao

The Later Han Dynasty Chinese chronicle, the Hou Hanshu, 88 (covering the period 25–220 and completed in the 5th century), mentioned a report that the steppe land Yancai had become vassals of the Kangju and was now known as Alanliao (阿蘭聊)[21]

Y. A. Zadneprovskiy suggests that the Kangju subjugation of Yancai occurred in the 1st century BC, and that this subjugation caused various Sarmatian tribes, including the Aorsi, to migrate westwards, which played a major role in starting the Migration Period.[6][22] The 3rd century Weilüe also notes that Yancai was then known as being Alan, although they were no longer vassals of the Kangju.[23]

Migration to Gaul

Around 370, according to Ammianus, the peaceful relations between the Alans and Huns were broken, after the Huns attacked the Don Alans, killing many of them and establishing an alliance with the survivors.[4][24] These Alans successfully invaded the Goths in 375 together with the Huns.[4] They subsequently accompanied the Huns in their westward expansion.[4]

Following the Hunnic invasion in 370, other Alans, along with other Sarmatians, migrated westward.[4]One of these Alan groups fought together with the Goths in the decisive Battle of Adrianople in 378 AD, in which emperor Valens was killed.[4] As the Roman Empire continued to decline, the Alans split into various groups; some fought for the Romans while other joined the Huns, Visigoths orOstrogoths.[4] A portion of the western Alans joined the Vandals and the Suebi in their invasion of Roman Gaul. Gregory of Tours mentions in his Liber historiae Francorum ("Book of Frankish History") that the Alan king Respendial saved the day for the Vandals in an armed encounter with the Franks at the crossing of the Rhine on December 31, 406). According to Gregory, another group of Alans, led byGoar, crossed the Rhine at the same time, but immediately joined the Romans and settled in Gaul.

Under Biorgor (Biorgor rex Alanorum), they infested Gallia round about, till the reign of Petronius Maximus and then they passed the Alps in winter, and came into Liguria, but were there beaten, and Biorgor slain, by Ricimer commander of the Emperor's forces (year 464).[25][26]

Coat of Arms of Alenquer (Alan-Kerk), in Portugal, which includes an Alaunt.

Under Goar, they allied with the Burgundians led byGundaharius, with whom they installed the usurping Emperor Jovinus. Under Goar's successor Sangiban, the Alans of Orléans played a critical role in repelling the invasion ofAttila the Hun at the Battle of Châlons. After the 5th century, however, the Alans of Gaul were subsumed in the territorial struggles between the Franks and the Visigoths, and ceased to have an independent existence. In order to quell unrest,Flavius Aëtius settled large numbers of Alans in various areas, such as in and around Armorica. Several towns with names possibly related to 'Alan', such as Allainville, Yvelines, Alainville-en Beauce, Loiret, Allaines and Allainville, Eure-et-Loir, and Les Allains, Eure, are taken as evidence that a contingent settled in Armorica, Brittany.[27] Other areas of Alans settlement were notably around Orléans and Valentia.[28] It seems that the personal name Alan, which originated in Brittany, derives from these people.[29]

Hispania and Africa

Kingdom of the Alans in Hispania (409–426 AD).

Kingdom of the Vandals and Alans in north Africa (526 AD).

Following the fortunes of the Vandals and Suebi into theIberian peninsula (Hispania, comprising modern Portugal and Spain) in 409,[30] the Alans led by Respendial settled in the provinces of Lusitania and Carthaginiensis.[31] The SilingVandals settled in Baetica, the Suebi in coastal Gallaecia, and the Asding Vandals in the rest of Gallaecia. Although the newcomers controlled Hispania they were still a tiny minority among a larger Hispano-Roman population, approximately 200,000 out of 6,000,000.[7]

In 418 (or 426 according to some authors[32]), the Alan king,Attaces, was killed in battle against the Visigoths, and this branch of the Alans subsequently appealed to the Asding Vandal king Gunderic to accept the Alan crown. The separate ethnic identity of Respendial's Alans dissolved.[33] Although some of these Alans are thought to have remained in Iberia, most went to North Africa with the Vandals in 429. Later the rulers of the Vandal Kingdom in North Africa styled themselves Rex Wandalorum et Alanorum ("King of the Vandals and Alans").

There are some vestiges of the Alans in Portugal,[34] namely inAlenquer (whose name may be Germanic for the Temple of the Alans, from "Alan Kerk",[35] and whose castle may have been established by them; the Alaunt is still represented in that city's coat of arms), in the construction of the castles of Torres Vedras and Almourol, and in the city walls of Lisbon, where vestiges of their presence may be found under the foundations of theChurch of Santa Luzia.

In the Iberian peninsula the Alans settled in Lusitania (Alentejo) and the Cartaginense provinces. They became known in retrospect for their massive hunting and fighting dog of Molosser type, the Alaunt, which they apparently introduced to Europe. The breed is extinct, but its name is carried by a Spanish breed of dog still called Alano, traditionally used in boar hunting and cattle herding. The Alano name, however, has historically been used for a number of dog breeds in a few European countries thought to descend from the original dog of the Alans, such as the German mastiff (Great Dane) and the French Dogue de Bordeaux, among others.

Kingdom of the Alans in Hispania (409–426 AD).

Kingdom of the Vandals and Alans in north Africa (526 AD).

Medieval Alania

Main article: Alania

The Alans who remained in their original area of settlement north of the Caucasus (and for a time east of the Caspian Sea as well), came into contact and conflict with the Bulgars, the Gökturks, and theKhazars, who drove most of them from the plains and into the mountains.[36]

The Alans converted to Byzantine Orthodoxy in the first quarter of the 10th century, during the patriarchate of Nicholas I Mystikos. Al-Mas'udi reports that they apostasized in 932, but this seems to have been short-lived. The Alans are collectively mentioned as Byzantine-rite Christians in the 13th century.[36] The Caucasian Alans were the ancestors of the modern Ossetians, whose ethnonym derives from the name Ās (very probably the ancient Aorsi; al-Ma'sudi mentions al-Arsiyya as guards among the Khazars, and the Rus' called the Alans Yasi), a sister tribe of the Alans. The Armenian Geographyuses the name Ashtigor for the most westerly located Alans, a name which survives as Digor and still refers to the western division of the Ossetians. Furthermore, in Ossetian, Asi refers to the region around Mount Elbrus, where they probably formerly lived.[36]

Some of the other Alans remained under the rule of the Huns. Those of the eastern division, though dispersed about the steppes until late medieval times, were forced by the Mongols into the Caucasus, where they remain as the Ossetians. Between the 9th and 12th centuries, they formed a network of tribal alliances that gradually evolved into the Christian kingdom of Alania. Most Alans submitted to the Mongol Empire in 1239–1277. They participated in Mongol invasions of Europe and the Song Dynasty in Southern China, and the Battle of Kulikovo under Mamai of the Golden Horde.[37][better source needed]

In 1253, the Franciscan monk William of Rubruck reported numerous Europeans in Central Asia. It is also known that 30,000 Alans formed the royal guard (Asud) of the Yuan court in Dadu (Beijing). Marco Polo later reported their role in the Yuan Dynasty in his book Il Milione. It's said that those Alans contributed to a modern Mongol clan, Asud. John of Montecorvino, archbishop of Dadu (Khanbaliq), reportedly converted many Alans to Roman Catholic Christianity in addition to Armenians in China.[38][39] In Poland and Lithuania, Alans where also part of powerful Clan of Ostoja.

Against the Alans and the Cumans (Kipchaks), the Mongols used divide and conquer tactics by first telling the Cumans to stop allying with the Alans and after the Cumans followed their suggestion the Mongols then attacked the Cumans[40] after defeating the Alans.[41] Alans were recruited into the Mongol forces with one unit called "Right Alan Guard" which was combined with "recently surrendered" soldiers, Mongols, and Chinese soldiers stationed in the area of the former Kingdom of Qocho and in Besh Balikh the Mongols established a Chinese military colony led by Chinese general Qi Kongzhi (Ch'i Kung-chih).[42] Alan and Kipchak guards were used by Kublai Khan.[43] In 1368 at the end of the Yuan dynasty in China Toghan Temür was accompanied by his faithful Alan guards.[44] Mangu enlisted in his bodyguard half the troops of the Alan prince, Arslan, whose younger son Nicholas took a part in the expedition of the Mongols against Karajang (Yunnan). This Alan imperial guard was still in existence in 1272, 1286 and 1309, and it was divided into two corps with headquarters in the Ling pei province (Karakorúm).[45] In 1254 Rubruquis found a Russian deacon amongst the other Christians at Karakoram. The reason why the earlier Persian word tersa was gradually abandoned by the Mongols in favour of the Syro - Greek word arkon, when speaking of Christians, manifestly is that no specifically Greek Church was ever heard of in China until the Russians had been conquered; besides, there were large bodies of Russian and Alan guards at Peking throughout the last half of the thirteenth and first half of the fourteenth century, and the Catholics there would not be likely to encourage the use of a Persian word which was most probably applicable in the first instance to the Nestorians they found so degenerated.[46] The Alan guards converted to Catholicism as reported by Odorico.[47] They were a "Russian guard".[48]

It is believed that some Alans resettled to the North (Barsils), merging with Volga Bulgars and Burtas, eventually transforming to Volga Tatars.[49][not specific enough to verify] It is supposed that Iasi, a group of Alans have founded a town in north east of Romania (about 1200–1300), near Prut river, called Iași. The latter became the capital of ancient Moldova in Middle Ages.[50]

Alan mercenaries were involved in the affair with the Catalan Company.[51][52]

Later history

Descendants of the Alans, who live in the autonomous republics of Russia and Georgia, speak theOssetian language which belongs to the Northeastern Iranian language group and is the only remnant of the Scytho-Sarmatian dialect continuum, which once stretched over much of the Pontic steppe andCentral Asia. Modern Ossetian has two major dialects: Digor, spoken in the western part of North Ossetia; and Iron, spoken in the rest of Ossetia. A third branch of Ossetian, Jassic (Jász), was formerly spoken in Hungary. The literary language, based on the Iron dialect, was fixed by the national poet,Kosta Khetagurov (1859–1906).

Physical appearance

The fourth-century Roman historian Ammianus Marcellinus wrote that the Alans were tall, and blond:

Nearly all the Alani are men of great stature and beauty; their hair is somewhat yellow, their eyes are terribly fierce.[53]

Genetics

In a study conducted in 2014 by V.V. Ilyinskyon on bone fragments from 10 Alanic burials on the Don River, DNA could be abstracted from a total of 7. 4 of them turned out as belonging to yDNA Haplogroup G2 and 6 of them had mtDNA I. The fact that many of the samples share the same y- and mtDNA raises the possibility that the tested individuals belonged to the same tribe or even were close relatives. Nevertheless, this is a strong argument for direct Alan ancestry of Ossetians and against the hypothesis that Ossetians are alanized Caucasic Speakers, since the major Haplogroup among Ossetians is G2 either.[54]

In 2015 the Institute of Archaeology in Moscow conducted researches on various Sarmato-Alan and Saltovo-Mayaki culture Kurgan burials. In this analyses, the two Alan samples from 4th to 6th century AD turned out with yDNAs G2a-P15 and R1a-z94, while from the three Sarmatian samples from 2nd to 3rd century AD two turned out both with yDNA J1-M267 and one with R1a.[55] And the three Saltovo-Mayaki samples from 8th to 9th century AD turned out with yDNAs G, J2a-M410 and R1a-z94 respectively[56]

Les Scythes qui habitaient l'Asie centrale à l'époque d'Hérodote (5ème siècle av. J.-C.) se composaient de 4 branches principales connues sous le nom de MassaGatae, Sacae, Alani et Sarmatians, partageant une langue, une ethnie et une culture communes. Le grec ancien (par exemple, Herodotus, Pline, Plotemy, Arrian) et les sources perses (historiens de Darius) du 5ème siècle placent le MassaGatea comme le groupe le plus méridional dans la steppe d'Asie centrale. Les premiers Scythes qui sont entrés dans les régions du nord de l'Asie du Sud provenaient de ce groupe. Les historiens dérivent «Jat» de «Gatae», «Ahir» de «Avar», «Saka» de «Scythii», «Gujjar» de «Khazar», «Thakur» de «Tukharian», «Saurashtra» de «Saura Matii», Ou "Sarmatians", "Sessodia" (un clan Rajput) de "Sassanian", "Madra" de "Medes", "Trigartta" de "Tyri Getae" et "Sulika" de "Séleucides". «Massa» signifie «grand» ou «grand» dans le vieux Iranien - la langue des Scythes.

Les premiers Sakas ou Scythes sont rappelés par les historiens grecs (par exemple, Herodotus, Megatheses, Pline, Ptolémée) et persans de l'antiquité comme grands, grands guerriers encadrés et féroces qui étaient inégalés sur le cheval. Hérodote du Ve siècle av. J.-C. écrit dans un récit de témoins oculaires des Scythes: «Ils étaient les plus virils et respectueux des lois des tribus thraces. S'ils pouvaient se combiner sous un seul souverain, ils seraient la nation la plus puissante de la terre. " Selon leur mythe d'origine enregistré par Hérodote, les Sakas se sont manifestés quand trois choses sont tombées du ciel: la i) la charrue, ii) l'épée et iii) la coupe. La race Saka a commencé sa longue histoire de conquête des terres, libérant ses bienfaits et jouissant des fruits de leur travail (la coupe a un symbolisme cérémoniel-spirituel-festif). La pertinence de ces symboles et codes de la vie et de la culture dans la société traditionnelle du Punjabi et du Nord-Ouest est incontestablement évidente. Une branche du Sakas kown comme le Alani a atteint des régions de l'Europe, l'Asie Mineure et le Moyen-Orient. Ils ont été reliés aux Goths de la France / l'Espagne, les Saxons et les Juts du Danemark.

Les différentes races de Scythes qui apparurent successivement comme conquérants dans les provinces frontalières du Perse et de l'Inde sont les suivantes dans l'ordre d'arrivée: Sakas ou Sacae (Su ou Sai des Chinois - BC?), Kushans (le grand Yue (Yuti) des Chinois - BC 163), Kiddarite ou plus tard Kushans (le petit Yue-chi des Chinois - AD 450) et Epthalites ou White Huns (le Yetha des Chinois - 470 AD).

Cunningham note en outre que

«... les successives invasions scythes des Sakas, des Kouchans et des Huns blancs furent suivies de colonies permanentes de grands corps de leurs compatriotes ...».

Cunningham et Tod considèrent les Huns comme la dernière vague scythe à avoir pénétré en Inde.

Hérodote révèle que les Scythes remontent au Ve siècle av. Avait le contrôle politique sur l'Asie centrale et le sous-continent nord jusqu'à la rivière Ganges. Plus tard, les clans et les dynasties indo-scytiques (par exemple Mauryas, Rajputs) étendirent leur contrôle à d'autres secteurs du nord du sous-continent. Les plus grandes dynasties impériales Saka de Sakasthan incluent les Satraps (204 av. J.-C. à 78 après JC), Kushanas (50 AD-380), Virkas (420 AD-640) tandis que d'autres comme les Mauryas (324-232 avant JC) et Dharan-Guptas AD - 515) ont étendu leurs empires vers l 'est

According to Ethnographers and historians like Cunningham, Todd, Ibbetson, Elliot, Ephilstone, Dahiya, Dhillon, Banerjea, etc., the agrarian and artisan communities (e.g. Jats, Gujars, Ahirs, Rajputs, Lohars, Tarkhans etc.) of the entire west are derived from the war-like Scythians who settled north-western and western South Asia in successive waves between 500 B.C. to 500 AD. Down to this day, the very name of the region 'Gujarat' is derived from the name 'Khazar', whilst 'Saurashtra' denotes 'Sun-worshipper', a common term for the Scythians. The Gujarat-Rajasthan region continues to be the most Scythic region in the world.

The oldest Rajputs clans found in southern and western Rajasthan arose much later from earlier Scythic groups; or are of Hun origin (5-6th century AD); and many are no doubt of mixed Scythic-Hun origin. Virtually all are of Scythic descent.

3.3 Sakastan : The Saka States

Uptil the advent of Mohammed Ghori in the 13th century, the west and northwest was politically unified with the subcontinent for only 92 years under the Mauryas since the start of Saptha Sindhva's Vedic period (1500 BC). For most of its independant history it was under the rule of Saka kings. The west was also independant from the rest of India, existing under its Saka dynasties for virtually the entire period of history. The term 'Sakastan' which is found on coins, was applied to the Rajasthan-Gujarat core region, and at its greatest extent included Punjab, UP and Haryana as well.

The largest Saka imperial dynasties of Sakasthana include the Satraps (204 BC to 78 AD), Kushanas (50 AD - 380), Virkas (420 AD - 640) while others like the Mauryas (324 - 232 BC) and Dharan-Guptas (320 AD - 515) expanded their empires towards the east. A brief selected list of Saka rulers of Punjab and the northwest spanning 16 centuries includes Porus (4th century BC), Mauryas (3rd century BC), Rudradaman, Azes, Maues, Soter Megas (2nd century BC), Azilises, Wima Kadphises (1st century AD), Kanishka I, Haviska (2nd century), Vasudeva (3rd century), Vyaghra rata and Yasovardhana.

Les Mauryas étaient peut-être d'origine scythique. D.B. Spooner qui a évacué Pataliputra a été frappé par ses conclusions et écrit dans son article "La période zoroastrienne de l'histoire indienne" comme suit:

«Pour les temps de Chandragupta, les preuves sont plus nombreuses et plus détaillées, et indiquent une suite de coutumes persanes tout au long de la ligne - dans les travaux publics, dans le cérémonial, dans les institutions pénitentiaires, tout».

La théorie de la descente scythique des Mauryas est étayée par les éléments de preuve suivants:

Les pièces de Maurya ont le symbole du soleil, d'une branche, d'un taureau et d'une montagne (Dehiya, p.155). Toutes ces icônes sont pré-éminemment Scythes MassaGetae qui étaient adorateurs du Soleil avec le mont haute symbolisant la terre et les lignes irrégulières courbes aux côtés de lui symbolisant l'eau. La branche d'arbre est un symbole de productivité de la terre - l'agriculture et le soldat étaient les nobles occupations traditionnelles de Sakas. Les historiens de Darius rapportent que, quand il a tenté d'attaquer les Scythes MassaGetae (une ancienne culture iranienne d'Asie centrale) le long de la mer Noire au 5ème siècle avant J.-C., "les rois Saka juré par le dieu soleil et a refusé de céder la terre et l'eau ".

Le nom de clan de Toramana et Mahirgula, à savoir Jauvla, est encore disponible parmi les Jats indiens qui sont maintenant appelés Jauhl.

Les clans Jat / Gujar et les villages nommés Maur et Dharan existent encore aujourd'hui au Punjab, à Haryana, au Bihar et au MP de l'Ouest.

Les Puranas ne se réfèrent même pas aux plus grandes dynasties impériales du Nord comme les Mauryas (324 - 232 av. J.-C.) et Dharan Guptas (320 AD - 515) en tant que «Kshatriyas». En ce qui concerne les Mauryas, Dehiya [p.147] déclare: «Une autre indication de l'origine étrangère [c'est-à-dire Saka] de ces personnes est ... Le Vishnu Purana les appelle [Souverains Gupta] Sudras. Le Yuga Purana les appelait «totalement irréligieux, quoique posant comme religieux». Le Mudra Rakshasa appelle ces gens comme Mlecchas et Chandragupta lui-même est appelé «Kulahina», un ascendant de famille inconnue ».

Il a également été suggéré que cette influence Scythique a été occasionnée par l'immigration des Scyhtiens iraniens fuyant la conquête grecque. Quoi qu'il en soit, il n'en demeure pas moins que la principale impulsion civilisatrice derrière l'empire mauryan était Scythique.

Gupta

Certains historiens estiment aussi que les Guptas étaient d'origine Scythique. Le terme «Gupta» dans cette théorie est considéré comme une version mal interprétée de «Jarta» trouvée dans les textes anciens et les inscriptions des historiens pro-Brahmanistes modernes (par exemple Majumdar, Belvelkar, Satavalekar). "Jarta" est donc considéré comme la forme Sanskritised de "Jat" comme autres noms tribaux Saka tels que "Gujar" deviennent "Gurjara" et "Munda" deviennent "Marunda". Gupta est dérivé de "Goptri" signifiant "gouverneur militaire" comme dans l'inscription de Skandagupta (Dehiya, p 176). Ce n'était pas un nom de famille ou un nom de clan, mais un titre.

P. L. Gupta écrit: «Les pièces d'or les plus courantes des Guptas semblent être les descendants directs des pièces d'or des Kushans postérieurs ...». Il ajoute que la pose debout des rois Gupta à l'autel est presque identique à celle des rois Kushan, comme leur robe - Kushan long manteaux et pantalons (uchkin, salwar / kameez). La tribu Kushana ou Kasvan des Sakas avait régné sur Sakasthan (ouest et nord-ouest) dans la période du 1er siècle au 4ème siècle après JC. Les premières pièces de Gupta sont significativement appelées «dinars» et leur poids est identique à ceux des pièces de Kushana occidentales. De plus, Alberuni (un Arabe qui se rendait au sud-est en 1030) apprend que «les Guptas étaient puissants mais mauvais et que les gens du pays (dans la région du Gange) célébraient la fin de leur règne en commençant une nouvelle ère» (Dehiya, p. ). Cela soutient à nouveau l'origine scythe des Guptas: la fin de l'empire Saka dans le sous-continent oriental a été une cause de célébration pour les brahmanes gangetiques.

Cependant, le fait que les Guptas soient responsables de la montée du Vaishnavisme et du renouveau du brahmanisme va à l'encontre de leur prétendue origine Scythique. Les traits décrits ci-dessus peuvent être expliqués en termes de leur adoption de certaines coutumes Saka comme ils ont conquis Sakastan. En conclusion, la plupart des historiens considèrent les Guptas comme néo-brahministes. Avec leur avènement a commencé la glissade de l'Inde dans le castéisme et les âges sombres qui précédaient immédiatement la libération islamiste.

3.4 Destruction des Etats Saka

Les états Saka et ses civilisations ont été détruits non pas par des forces extérieures, mais par un poison mortel qui infiltrait de l'intérieur. Cette maladie mortelle n'est autre que les brahmanes, qui ont infiltré les états Saka. Par le dogme de jati (caste professionnelle), les Brahmanes divisaient et détruisaient l'unité des peuples Saka, opposant le frère contre le frère et le fils contre le père. Les inventions brahmanes de la dot, de l'infanticide féminin et du sati affaiblissent davantage la base de la civilisation Saka. Sous la pesanteur de l'impérialisme brahmane, la civilisation glorieuse des Scythiques fut écrasée et les Sakas fondèrent en ouvriers de castes inférieurs servant leurs maîtres brahmanes aryens. Enfin, les rois Gupta étrangers de Kannauj ont détruit les empires affaiblis de Saka pendant le renouveau du fascisme brahmaniste. La foi glorieuse des Sakas - la religion Saura, a été entièrement détruite et les restes écrasés absorbés dans le brahmanisme.

3.5 Brahmanisation des Sakas

Au cours de la transition religieuse du 8ème au 11ème siècle, avec les institutions bouddhistes et les universités disparues, les textes et la littérature bouddhiques et sakémites de Sakasthan (et d'autres régions de l'Asie du Sud) ont traversé la censure brahmanique dans laquelle la littérature sur les religions antérieures, les ordres sociaux, Les dirigeants non favorables à leur agenda socio-politique ont été détruits, modifiés ou interpolés pour faire avancer leur idéologie de caste et leurs prétentions de supériorité. Par exemple, le Deva Samhita de Gorakh Sinha du début de l'époque médiévale déclare: «Ils sont, comme les dieux, déterminés et de tous les Kshatriyas, les Jats sont les premiers maîtres de la terre ... Leur histoire est extrêmement merveilleuse et leur antiquité Glorieux ... Les savants de l'histoire n'ont pas consigné leurs annales pour ne pas nuire à leur fausse fierté et aux vipras et aux dieux ».

Dans les récits révisionnistes du Brahmanisme après le 11e siècle, même le plus imposant maître Saka-bouddhiste Ashoka Maurya (clan Maur) est calomnié, calomnié, ridiculisé et presque effacé de l'histoire comme «roi insignifiant», «mlecha», «shudra» et «non généreux» À Brahmins ". Il est étonnant et inquiétant que la plupart des 1500 ans d'histoire de Sakasthana et le bouddhisme dans le sous-continent a été reconstruit de l'archéologie et des sources étrangères (par exemple, grec, chinois, tibétain) plutôt que des matériaux indiens. La tolérance avec laquelle les brahmanes ont détruit la civilisation Saka est étonnante. Tandis que les langues grecques et scythiques sont enregistrées comme langues parlées dans divers traités linguistiques, ces langues ont été rapidement détruites par les Brahmanes. Peu de traces de la civilisation Saka ont survécu au vandalisme brahmanique. Comme les Panchalas, Carvakas et Latas, les Sakas se sont joints à la longue lignée de races anéanties par les Brahmanes

Sous la rigidité professionnelle accrue et les préjugés de castes étrangères propagés par le brahmanisme à l'ouest et au nord-ouest dans l'ère post-10ème siècle, les Sakas engagés dans des activités artisanales (par exemple Tarkhans, Lohars) ont été baissés en Brahmanique "castes debout" Les groupes perdent leur identité tribale et clanique pour ne sortir que comme occupation. Les Sufis et les Sikhs du Punjab (11-17e siècle) se sont élevés pour contrer et arrêter ce processus de dénigrement social et de division des castes et de réintégrer la société selon ses idéaux traditionnels de fraternité, d'égalité et d'humanisme spirituel. Il est intéressant de noter que parmi les tirades puraniques, les caste-bigots ganglionnaires se déploient contre la civilisation Saka et les peuples de l'Ouest et du Nord-Ouest, un terme plus utilisé pour les dénoncer (en dehors des "mlechas", "sudra" et "vahikas") est vratyas "Qui signifie" fraternité ". Le concept d'une société sans castes et d'une politique démocratique républicaine proclamée par la tradition Saka, dans laquelle aucun segment parmi eux n'était reconnu comme «supérieur» et où les dirigeants politiques étaient élus (Panchayat, Sarpanch, Sarva Khaap, Thok, etc.) À la prêtrise aryenne de Gangasthan (Kannauj ou Brahmavarta).

Les différentes religions des Sakas sont:

Sufic Islam (Sikhisme, Kabirisme, Nanakshahisme, Dadupanthisme, etc.)

Cultes solaires (Saura)

Le bouddhisme était autrefois populaire, mais beaucoup de ces personnes ont été forcés de se convertir au Vaishnavisme et au brahmanisme pendant les Âges obscurs du Brahman.

Le développement local du soufisme punjabi et du sikhisme (12-18ème siècle) sont des fils de continuité avec les traditions et le patrimoine traditionnels et humanitaires de Gandharan relativement égalitaires et humanistes de la région. Les centres du soufisme du Punjabi ont vu le jour après le XIIe siècle et ont tenté de relancer les idéaux humanistes, peu orthodoxes et égalitaires de sa civilisation gandharienne (400 av. Dans les centres soufis, tant le Coran que les anciennes philosophies bouddhistes ont été enseignées, discutées et débattues. Les maîtres soufis ont écrit et prêché dans la langue punjabi locale, ont opposé l'orthodoxie brahmanique, et ont essayé de rejuvinate l'âme perdue et la lumière du pays en propagant les aspects égalitaires de la théologie islamique.

Le soufisme et les saints soufis (connus sous le nom de Babas) ont été tenus en haute estime et ont eu un large laïc séculier suivi dans tous les segments de la société punjabi que leurs enseignements non seulement renforcé traditionnel Saka-bouddhiste-Saura spirituel et social et le patrimoine, Un milieu linguistique et culturel qui était Saka au cœur. Parmi les premiers ordres soufis établis au Punjab, il y avait celui de Makhdum Hujwirir (1092) qui, en raison de sa grande générosité, devint connu sous le nom de Data Ganj Baksh et fut vénéré par tous les Punjabis. Son mausolée fut reconstruit par Ranjit Singh en marbre à Lahore. Le Lahore Sirkar et le Sikh (Sufic Muslim) et les zamindars musulmans ont donné généreusement pour l'entretien des sanctuaires soufis et des tombes. L'un des Babas Sufi les plus éminents du Pendjab du XIIIe siècle était Shaikh Farid Shakarganj de l'ordre de Chishti. Il a vécu à Pak Pattan qui est devenu un des centres principaux de Sufism dans le Punjab. Un autre centre important du soufisme a été ouvert à Multan par les Suhrawardhiyas, Bahaudhin Zakarya et Ruknuddin Zakarya au 13ème siècle. Au 15ème siècle, l'ordre de Qadiriya a établi un centre de Sufi dans Sindh. Mian Mir, le fameux divin de Lahore qui est devenu un ami personnel du cinquième gourou Sikh Arjan et a posé la première pierre du Harimandir à Amritsar, était de l'ordre Qadiriya. Beaucoup des ordres soufis au Pendjab ont été persécutés par les aristocrates brahmanistes bigotards et les brahmanistes qui s'étaient infiltrés dans la cour d'Aurangzeb ont tué et empoisonné bon nombre de saints sikhs. Le brahmane Ram Rao a coupé la tête du gourou Tegh Bahadur dans la cour d'Aurangzeb et, de la manière la plus vicieuse, les Brahmanes ont par la suite dénaturé l'histoire et impliqué faussement les musulmans dans ce crime affreux. Les chroniques de la cour contemporaine témoignent clairement du témoignage que les gourous sikhs ont été accueillis par les califes mogols de Delhi et prouvent que les infiltrés brahmanes ont commis les actes lâches de l'assassinat des gourous sikhs. En effet, si proche était Aurangzeb aux Soufis qu'il était lui-même connu comme Kalandar (ascète). En effet, c'est le point crucial de la propagande brahmane Pseudo-séculière et Hindutva: le meurtre brahmanique de Guru Tegh Bahadur est faussement blâmé sur les musulmans. En fait, l'opposition acharnée de Tegh Bahadur au casteisme brahmanique, l'opposition stannique au brahmanisme et au système d'apartheid védique lui valurent la défaveur des brahmanes, qui l'ont donc tué dans la cour d'Aurangzeb.